Propositions pour la journée du 17 octobre du refus de la misère (manifestation au restaurant social). .
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Comme la réunion de
mercredi 2 juillet au restaurant social tombe sur notre créneau de projection à
la maison de quartier Bottière nous programmons deux films Voir ici dont l’action se déroule au Sénégal et a trait aux enfants des rues.
Deux visions différentes de la pauvreté, sous un angle non misérabiliste : « La petite vendeuse de soleil »
de Mambety et « Deweneti » de Dyana Gaye). Nous avons déjà projeté ce
dernier dans le cadre du festival des trois Continents). Sur la seconde partie
de notre séance à Bottière je souhaite amener nos usagers à réfléchir sur la programmation
qu’on pourrait faire au restaurant social le 17 octobre.
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Format des films et Agenda de la manifestation autour du 17 octobre
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Dans le genre ce peut être du documentaire ou de
la fiction.
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Dans le format ce peut être un long métrage ou
bien un court et un moyen métrage. Ou bien encore des extraits de plusieurs
films différents.
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Il n’est pas exclu d’associer plusieurs de nos
séances du restaurant social ou à la maison de quartier à cette journée du 17
octobre (par exemple sur deux semaines). C’est une éventualité. Pour l’instant
le sujet n’est pas encore porteur pour nos usagers.
Ce qui compte c’est qu’il y ait un minimum de qualité de
mise en scène dans tous les cas. Pour que nous puissions projeter des sens différents
sur les images et que nous puissions donc discuter.
La Sagesse de l’image est de prendre attention au ressenti
des personnes et à la signification des films. C’est-à-dire comme je l’ai fait
souvent de se servir du film pour parler d’un sujet mais de ne parler du sujet
qu’à partir du film présenté qui nous sert de ligne, de bord.
Je participerai aux autres réunions pour comprendre les
attentes des différentes personnes du collectif pour le 17 octobre.
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Sur le contenu des films et du débat voici
les pistes que nous pourrions prendre en compte :
- Le dessin de la pauvreté et des inégalités, les situations, la façon dont on en parle à travers les films. Quels discours les films tiennent-ils sur la misère ou
la pauvreté ? Faire une typologie des points de vue, de la
compassion jusqu’aux constats, en passant par
la contestation, la critique l’ironie ou la révolte, voire la
proposition. En termes de pensée aussi bien que de registres (émotion…), de
valeurs, de spiritualité ou de citoyenneté.
- Les points de résistances à la transformation
des situations. Les actes positifs qui construisent un autre rapport à l’autre.
Le rapport de chacun au sujet.
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Filmographie :
Il y a déjà une « internationale » du refus de la misère chez les réalisateurs européens : Luc et Jean-Pierre Dardenne, Ken Loach, ou Robert Guédiguian pour ne citer qu’eux.
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Il y a déjà une « internationale » du refus de la misère chez les réalisateurs européens : Luc et Jean-Pierre Dardenne, Ken Loach, ou Robert Guédiguian pour ne citer qu’eux.
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Comment et avec
qui (dans quelle position)
Plutôt que de mener ce travail seul (ce qui est le plus facile) je suis tenté de mettre la barre un plus haut. Certes d’associer nos différents publics à la discussion mais aussi à la préparation et l’animation de cette séance. Dans l’idée que le refus est l’affaire de tous, une affaire communautaire. Je ne sais pas si c’est tenable mais j’aimerai qu’on y réfléchisse ensemble
Plutôt que de mener ce travail seul (ce qui est le plus facile) je suis tenté de mettre la barre un plus haut. Certes d’associer nos différents publics à la discussion mais aussi à la préparation et l’animation de cette séance. Dans l’idée que le refus est l’affaire de tous, une affaire communautaire. Je ne sais pas si c’est tenable mais j’aimerai qu’on y réfléchisse ensemble
Alain
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